Une Aventure de Machin Tome 1
La Bête qui mangeait tout le monde

Sylvain-Moizie

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Broché
Auteurs :
Sylvain-Moizie (Scénario et dessin)
Date :
15 avr. 2004
Format :
48 pages - Noir et blanc
19.0 x 26,5 cm
ISBN :
9782849530061
Prix :
12,00 €

Une Aventure de Machin Tome 1
La Bête qui mangeait tout le monde

Sylvain-Moizie

Une nuit de pleine lune, dans le Gévaudan, Machin se balade fièrement au volant de sa voiture hippo-tractée alors que rôde une bête féroce échappée du zoo...

Une nuit de pleine lune, dans le Gévaudan, Machin se balade fièrement au volant de sa voiture hippo-tractée. Après une dispute avec son cheval Maurice, Machin se retrouve livré à lui-même dans la campagne alors que rôde une bête féroce échappée du zoo. Celle-ci lui vole sa voiture et repart manger tous ceux qui ont le malheur de croiser sa route. Dans le village voisin, c’est la panique, l’imagination des habitants galope…

Ainsi commence la délirante et improbable épopée d’un tigre en Auvergne, servie par l’élégant graphisme en pattes de mouches de Sylvain-Moizie. Son coup de crayon, libre et spontané, rappelle les meilleurs dessins de presse et insuffle à ce récit burlesque – qu’on dirait croqué sur le vif – une folie contagieuse.

Une nuit de pleine lune, dans le Gévaudan, Machin se balade fièrement au volant de sa voiture hippo-tractée. Après une dispute avec son cheval Maurice, Machin se retrouve livré à lui-même dans la campagne alors que rôde une bête féroce échappée du zoo. Celle-ci lui vole sa voiture et repart manger tous ceux qui ont le malheur de croiser sa route. Dans le village voisin, c’est la panique, l’imagination des habitants galope…

Ainsi commence la délirante et improbable épopée d’un tigre en Auvergne, servie par l’élégant graphisme en pattes de mouches de Sylvain-Moizie. Son coup de crayon, libre et spontané, rappelle les meilleurs dessins de presse et insuffle à ce récit burlesque – qu’on dirait croqué sur le vif – une folie contagieuse.

Dans la même série

Tome 1 : La Bête qui mangeait tout le monde

Tome 2 : La nuit du mystérieux Chien-garou

Presse

Bédéka

Sylvain-Moizie nous propose là un scénario agréablement délirant et saugrenu, il réussit à nous surprendre et nous attendrir aussi avec une jolie histoire d’amitié. Surprenant, le graphisme l’est également. En noir et blanc, ce qui pourrait être défini comme un dessin rapide (patte de mouches) se révèle être une représentation très réaliste. A la fois simples et travaillées, les expressions des personnages... (Nathalie Faytout)

SFMag.net

Une fois de plus Sylvain-Moizie nous offre un récit déjanté où le fantastique est banalisé (le cheval qui parle n’étonne personne, mais après tout il s’agit d’une pratique courante chez Disney et Lucky Luke). La solution passe donc par la surenchère, une pratique dans laquelle il excelle. Et ce n’est pas terminé. En effet cette histoire tragique (pour les biches) et sanglante (pour les clowns) aura... (Damien Dhondt)

Phenix Mag

"La bête qui mangeait tout le monde" est une métaphore de la rumeur. Critique édifiante de notre société qui, plutôt que d’évoluer, choisit de s’enfermer dans l’obscurantisme. L’histoire dresse une liste accablante de notre stupidité. Comme cette bête dont le lecteur sait tout, mais qui prend des proportions délirantes dans l’esprit des protagonistes. Comme ces CRS qui tirent sur tout ce qui bouge parce... (Gérard Wissang)

US webmag

L'alchimie est parfaite tant au niveau du scénario [ légèrement barré ] et le graphisme de Sylvain-Moizie, qui est redoutablement underground et trash. Par moment on dirait presque une version métaphysique sous acide de Reiser, avec des cases désordonnées et sans contour. Mais c'est cette recherche graphique dynamique qui donne finalement tout le charme à ce conte rythmé, qui entre quelques scènes gore,... (Philippe Duarte)

BDSelection.com

On délire grave dans le Gévaudan ! Machin devrait arrêter les pilules bleues, car cela ne lui réussit pas ! A à peine 26 ans, Sylvain-Moizie a trouvé son style avec cet album souple crayonné et encré qui cache un véritable tumulte derrière son apparente simplicité. L'album démarre comme un sketch de clown de cirque. Machin entre en scène au volant de sa voiture. Et "TaDam" ! Que nous sort-il de son... (Isabelle Sapet)

BoDoï

Cette bande dessinée en deux actes semble partir dans tous les sens, mais va exactement où elle veut : droit dans l'univers complexe de Bouclettes, le concept éditorial regroupant tous les personnages de Sylvain-Moizie, lauréat du prix Jeunes Talents d'Angoulême en 2000. Les lecteurs hermétiques au surréalisme passeront leur chemin. Pour les autres, bienvenue en Auvergne ! (Olivier Maltret)

BDSelection.com

Dans cette suite de La Bête qui mangeait tout le monde, Sylvain Moizie développe son univers personnel : des héros anonymes, désignés uniquement par leur identité graphique, et leur bavard cheval de compagnie. Cirque extraordinaire, numéros improbables, vraie-fausse enquête et policiers bons enfants : le monde qu’il dépeint ne ressemble à aucun autre. On ne tremble pas souvent dans ce livre d’horreur... (Clément)

sceneario.com

L’ancien élève de Béhé remet ça dans une débauche de loufoquerie et avec son style graphique (...) qui ne se promet pas que des fans, empruntant à des Reiser, à des Brétécher et à ces autres artistes au trait brut de décoffrage et emprunt d’une poésie toute particulière... Au lecteur de voir. Il est devant une casserole dont le couvercle masque le contenu : soit il y trouvera une alléchante confiture... (Sbuoro)

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