La presse en parle ...

• Entusiasmante storia, che mescola ricordi di famiglia e la grande Storia. (Angelo Molinari) Fumo di China

• La force de l'ouvrage est ailleurs : d'abord dans l'apparente objectivité du traitement (...) ; ensuite dans le dessin. Un dessin qui mélange subtilement naïveté et fantastique. Bref : une oeuvre "école belge" un tantinet sous acide. (Pascal ORY) Lire #91

• Un réalisme à la fois déroutant et touchant qui, comme dit plus haut, embrasse une multitude de sujets. La toile de fond de la décolonisation est elle aussi bien abordée (...). Une biographie mêlant adroitement des dessins épurés à une grande profondeur de récit. (Zachary Claisse) L'Avis des Bulles #167

• Pour son premier album, le jeune auteur bruxellois signe cette attachante histoire de colonisation ordinaire baignée de touches de réalisme magique. Le Soir

• Une très belle BD. (Olivier Valério) Radio P.fm - Easy Rider

• Il s'agit d'un très bel album à conseiller à tous ceux qui veulent en connaitre plus sur l'époque du Congo belge et plus largement à tous les amoureux de la bonne bande dessinée. (Frédéric Theveny) CultureBD.fr

• L’ouvrage est parfaitement maîtrisé (...). Ce qui n’aurait pu être qu’une simple histoire autobiographique s’avère un livre d’aventures où chacun est pris par la vie de cet homme au long parcours. (Didier Bonifay) Bulles d'encre

• Un témoignage prenant. (...) Portrait d’une époque, de deux pays et des hommes qui les ont faits, sans complaisance mais avec une passion communicative qui fait de cet album un ouvrage à part. (Fabien Guigue) BOBD

• Une très belle réussite, donc, que cet album qui fait preuve d’un talent à la fois narratif et graphique plein de promesses. (Jacques Schraûwen) RTBF

• Le tout est servi par une colorisation intelligente et un trait qui s’inspire sans le caricaturer de celui d’Hergé. Un joli récit initiatique à découvrir absolument. (Jean-Michel Gouin) Case Départ (blog NRCO)

• Dans un style post-naïf que peu réussissent à maîtriser, Les jardins du Congo mettent un point final à la caricature coloniale d’Hergé. Quelque chose entre Willy Vandersteen et E.P. Jacobs, (...) dont ressort un témoignage juste qui force un minimum de respect. (Jérôme Enez-Vriad) Unidivers.fr

• Le propos sonne juste et le témoignage impose sa force. (...) Cet album développe avec panache une saga des plus romanesques, et son final poignant le ponctue avec une grande sensibilité. (David Taugis) Actua BD

• Le graphisme, juste et efficace, aide grandement à l’immersion de l’histoire. (...) Cet album vous propose de découvrir un pays à l’histoire compliquée mais aussi une saga romanesque alliée à une réflexion sur les colonies. Une période sombre de l’histoire de la Belgique qui n’épargne personne dans ce témoignage autant personnel qu’historique. (Romain Delannoy) A voir, à lire

• D'une nature à l'autre, et d'une violence à l'autre, l'indépendant Nicolas Pitz tisse le récit atypique, dans la forme et le fond, de la vie chahutée de son grand-père, témoin de son temps et de ses excès. (...) Ces Jardins du Congo réussissent à mêler onirisme et réalité historique dans un même récit à l'atmosphère pesante. (Olivier Van Vaerenbergh) Focus - Le Vif

• Cette histoire d'un garçon que rien ne prédestinait à vivre en Afrique est celle de ces petits blancs devenus puissants du seul fait de leur statut de colon et qui, une fois contraints de rentrer dans leur pays, retrouvèrent leur médiocrité, ne vivant que dans le souvenir de leur puissance d' hier. Le cahier photo suivant le récit lui donne un indéniable cachet d'authenticité. (Roland Françoise) Radio Massabielle - A l'écoute des livres

• L’auteur mêle habilement Histoire et histoire (...). C’est beau, c’est instructif, c’est bien raconté, et la mise en image est des plus réussies. Bref, la rentrée commence bien chez La Boîte à Bulles ! (Alix) BDthèque

• L'originalité de ce livre tient pour partie à son ton, faussement naïf. Elle vient aussi de la construction, qui met en parallèle l'apprentissage africain du personnage et les années de guerre (...). Dans un pays comme dans l'autre, bien peu de héros et pas mal de salauds. (Olivier Marbot) La revue (jeune afrique) #37

• Sous ses abords innocents, ses dessins naïfs et ses couleurs vives – qui illustrent parfaitement les états émotionnels du héros – ce livre se révèle bien plus profond et plus dur qu’on ne pourrait l’imaginer, traitant des heures sombres de l’Histoire de la Belgique et de sa colonie, et n’épargnant en aucun cas ses personnages, pointant leurs défauts sans concession… (Paka Mata) Angle(s) de vue - Rubrique à brac

• Cette bande dessinée intelligente aborde une période de l’histoire tragique de la Belgique. Et bien que le sujet ne soit pas des plus faciles, c’est aussi une façon de se cultiver et d’observer le comportement pas toujours exemplaire, des colons qu’ils soient belges, français ou anglais. À méditer ! The Glamattitude

• L'originalité de cette BD, c'est la vision de ce blanc au coeur d'un pays qui gagnera son indépendance à l'arraché. [Les rapports humains décrits] permettent de traiter les heures sombres de l'Histoire de la Belgique, n'épargnant en aucun cas ses acteurs. Le final, touchant, est souligné par les photos en N&B, mémoire familiale d'un passé en pointillé. revue Éduquer #100

• Un album témoignage qui éclaire un pan méconnu de l'Histoire belge autant qu'un hommage "grand-filial" sincère. Émouvant autant qu'il est intéressant. (Lauriane) bd-sanctuary.com

• Fascinant livre que ces Jardins du Congo. Nicolas Pitz y raconte une histoire du colonialisme, de ses dérives et injustices, mais quand on sait que ce récit est inspiré de la véritable vie de son grand-père, il prend alors une toute autre dimension. (...) Un très beau graphisme, de belles pages aux grandes illustrations où les paysages, qu’ils soient Africains ou Belges, ont une véritable importance. (David Fournol) Une autre histoire

• On se laisse facilement prendre par l’histoire de cet homme touchant. Cet ouvrage offre également une réflexion intéressante sur les rapports humains dans les Colonies, la notion de respect, la notion d’amitié entre des individus de races différentes, la notion de privilège… (Mo') Chez Mo - Bar à BD

• Les jardins du Congo de Nicolas Pitz aborde avec distance et intelligence le colonialisme. C’est un nouveau regard dans lequel le discours convenu n’est pas de mise. (...) Des scènes aux couleurs éclatantes, un coup de crayon précis et merveilleusement expressif. (Éva Dréano) Africavivre.com

• Nicolas Pitz (...) propose une chronique au fil tourmenté, malgré quelques épisodes remplis d'espoir. (A. Perroud) BDGest

• Un récit bien mené croisant petite et grande Histoire. La colorisation (...) exprime finement ambiances et humeurs d'une vie. Le final, assez touchant, est souligné par les photos en noir et blanc, mémoire familiale d'un passé en pointillé. Récit initiatique, histoire d'une quête identitaire croisant destins familiaux et grande Histoire, Les jardins du Congo s'avère une lecture digne d'intérêt. (Olivier Hervé) PlaneteBD

• Un roman graphique très attachant Une expérience à la fois personnelle et à l'écho national, que l'auteur traite brillamment loin de l'imagerie habituelle ou de la simple anecdote familiale. (Jean-Jacques Lecocq) Ciné Télé Revue

• En ouvrant l’album, directement, c’est le graphisme qui saute aux yeux.[...] Ce style me fait un peu penser à un mixte entre Brüno et Kerascoët.[...] Un jeune talent à suivre. (Capitol) SambaBD

• Le discours est d’autant plus fort qu’il repose sur un dessin, non pas à la ligne blanche, mais furieusement inspiré du trait de Hergé. (...) Les planches sont composées d’une belle palette de couleurs qui permet de reproduire des paysages tout en nuances, presque paradisiaques. Là encore, à contre-pied du thème grave porté par le récit qui en sort encore renforcé. Jolie prouesse. (Gwendal Fossois) Echos Art

• Je dois reconnaître que le média fonctionne plutôt bien : les récits basés sur des témoignages mis en images prennent une valeur fascinante de mémoire-fiction. (...) Reste que la sauce ne prend pas totalement malgré le charme lent de l'histoire. (Eric Adam) dBD #77