Un regard de faux naïf, ironique et pertinent sur les réalités de l’Afghanistan, dont l’instabilité croît au fur et à mesure du récit.
En 2005, Nicolas Wild, dessinateur de bande dessinée sans domicile fixe, trouve à la fois un plan squat et un boulot. C’est un peu loin : à Kaboul, dans un Afghanistan encore instable après la guerre.
Voilà donc ce jeune insouciant transporté dans une capitale en crise, chargé de dessiner une adaptation de la constitution afghane, puis de travailler sur la campagne de recrutement de l’armée. Il devient dès lors un observateur privilégié de la reconstitution hésitante du pays tout en menant la drôle d’existence des expatriés occidentaux à Kaboul. Il sent progressivement naître un fort attachement pour ce pays où il décide, malgré les risques, de prolonger son contrat.
La Constitution Afghane désormais illustrée en bande dessinée (voir le tome 1), Nicolas doit œuvrer à une campagne de communication pour la lutte contre l’opium. Le slogan à illustrer, particulièrement original, est : « L’Opium, c’est mal »…
Devenu seul auteur de BD (son collègue est parti) d’un pays auquel il s’attache de plus en plus, Nicolas continue de mener sa drôle d’existence d’expatrié dans un Kaboul moins pacifié qu’on ne pourrait l’espérer.
Kaboul Requiem
Tome 1 : Partie 1 - Comment je ne me suis pas fait kidnapper en Afghanistan
Tome 1 : Partie 2 - Comment je ne me suis pas fait kidnapper en Afghanistan
Tome 2 : Partie 1 - Comment je ne suis pas devenu opiomane en Aghanistan
Tome 2 : Partie 2 - Comment je ne suis pas devenu opiomane en Aghanistan
Tome 1 : Kaboul Requiem
Tome 2 : Kaboul Requiem
Kaboul Disco
édition 20 ans