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Le propos général du roman graphique est bien évidemment sérieux, on partage le quotidien du journaliste et de son fixer Sami qui lui sert de traducteur, d'aide de camp et d'interface avec les locaux, mais le ton reste finalement assez léger et même parfois carrément drôle avec certaines scènes d'anthologie. C'est la signature de Nicolas Wild.
France 3
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La tonalité de ce Requiem Kaboul, malgré tout, reste optimiste, malgré la guerre et l'oppression. Car Nicolas Wild esquisse les contours d'un pays qui lui est cher et porte sur lui un regard teinté d'espérance.
ARTE (JT)
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L’humour britannique de Sean Langan a sans conteste trouvé son alter ego dans l’ironie salutaire de Nicolas Wild. Pour notre plus grand plaisir.
L'Obs
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Nicolas Wild allie précision et dérision, un regard précieux sur les réalités de ce pays toujours en guerre.
Actua BD
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L'occasion de jeter un oeil sur la situation en Afghanistan, bien moins réductrice, bien plus surprenante que les discours officiels.
Casemate
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Kaboul Requiem, publié par la Boîte à Bulles, fait donc partie des bonnes lectures de cette année 2018, qui pourra même trouver place sous les sapins de noël.
9e Art
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Enfin une suite au fabuleux "Kaboul disco" de Nicolas Wild ? Pas tout à fait.
Sud Ouest
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Cet album passionnant et drôle se lit avec une grande facilité.
ComixTrip
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Dans le cas de Nicolas WIld, on rit souvent, mais on découvre aussi avec effroi son quotidien afghan. (...)
Qui pouvait raconter cela mieux que Wild, dans un récit porté par la force et l'humour anglo-saxon de Sean ?
Canal BD
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L’album se lit toutefois avec plaisir car le « reportage embedded » apprend une foule de choses et le dessin rond en noir et blanc, une jolie ligne claire, relaie à merveille une narration plaisante.
BoDoï
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C'est le fond qui rend cet ouvrage passionnant. A travers le calvaire de Sean Langan, l'auteur dépeint la réalité du terrain, dans un Afghanistan "libéré" de ses oppresseurs talibans. (...) Un récit dur, qui sait aussi se faire plus drôle, comme pour symboliser cet espoir qui fait survivre.
DBD
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À sa façon, ce livre contribue à garder vivante l’idée que dans une région du monde il se passe des choses inconcevables et qu’il ne faut pas fermer les yeux.
BD Gest
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Le portrait documenté d’un pays fascinant et le récit d’une expérience individuelle inouïe. On y retrouve également toute la capacité de l’auteur à croiser journal de voyages, documentaires et narration romanesque. Et parfois même une pointe d’humour bienvenue. C’est passionnant.
Zoo le mag
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Le « drôle » de récit, au graphisme maîtrisé, d’un homme que le flegme britannique, l’observation et le code pachtounwali, ont maintenu en vie.
Le Cercle
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Un regard aussi inédit que pertinent sur un pays devenu le terrain de tant d’enjeux entre grandes puissances… Remarquable !
Les chroniques de Jean Dessorty
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Cet album est subtil alors qu'il traite d'un sujet éminemment grave. Sweet by and but Wild, comme dirait sûrement ce journaliste. Et pour rester dans la tradition british, nous, on a bien envie de tirer le chapeau à l'auteur, et plutôt trois fois qu'une !
Planète BD
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Un suspense insoutenable.
L'Avis des bulles
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Une bande dessinée formidable !
Moyen-Orient
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Kaboul Requiem est une pépite de BD.
Publik'Art
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Un récit fort et drôle.
La Liberté
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Un très bel album, très drôle et plein de chair.
(Anne & Julien)
France Inter - Alternatives
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Un formidable récit complet et accessible, porte d’entrée à l’une des guerres majeures du XXIe siècle.
ActuaBD
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Le récit critique et humoristique d’une expérience plutôt singulière qui pose un certain regard sur la vie d’expatrié dans un Kaboul en devenir.
Le Cercle
-
Une perle !
Librairie Funambules
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(Mention)
Le Parisien
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Top 100 Comics of 2018
Geekcastradio
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Une lecture recommandée pour ceux qui ne connaissent pas ce pays et son histoire.[…] C’est par ses observations que Wild […] nous transmet une regard poignant sur le style de vie et la société Afghane.
Mumbai Mirror
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Quand vous l’aurez lu vous vous demanderez […] comment vous avez pu vous passer de ce livre toute votre vie.
Forces of Geek
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Un regard singulier sur le désir d’une génération entière d’aller voir ailleurs… Ce récit de voyage vous fera réfléchir sur là où vous êtes et là où vous voudriez aller.
AiPT
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Nicolas Wild mène un travail remarquable, pointant ici ou là les différences entre la culture occidentale et l'endroit où il réside, avec toujours beaucoup de recul y compris quand il lui faut dessiner des images de propagande politique.
Cultured Cultures
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Un récit de voyage entre le dessin et l’autodérision de Guy Delisle et le ton cynique de l'éditorialiste du Whashington Post Rajiv Chandrasekaran pour analyser la vie d’expatrié en zone de guerre.
Publisher’s weekly
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Un récit qui explore avec plein de candeur et d'humour la vie en Afghanistan, et en particulier les endroits où les cultures divergent et, parfois, se recoupent.
Barnes and Noble, « The Best Comics and Graphic No
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Le dessin et les principes narratifs de la bande dessinée sont à l’image de l’auteur : d’une finesse et d’une intelligence rares derrière des airs faussement naïfs et candides.
La Cave du Dr Orlof
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L’ album à la fois drôlissime (Ah ! Felippé et son intérim à la tête de la sécurité !) et captivant (l’émeute d’une partie des habitants de Kaboul racontée sous plusieurs angles) est une véritable petite pépite dont la lecture ne peut donner qu’envie de vivre une telle aventure.
On en sort comme on atterrit à Roissy. Un peu triste, nostalgique de moments forts et jurant qu’à la prochaine occasion,...
(Jean-Baptiste)
BDSelection.com
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De cette expérience vécue durant l’année 2005, l’auteur va tirer un carnet de voyage très instructif, plein d’humour et d’anecdotes qui nous raconte comment Nicolas a vécu ses mois de présence à Kaboul (comment il était logé, quels étaient ses rapports avec ses collaborateurs, etc…) mais aussi comment fonctionnent les ONG là-bas, mais aussi quel est le comportement des expatriés dans ce pays qui sort...
(Benoît Richard)
Benzine Mag.net
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Apprendre en s’amusant, c’est un des nombreux aspects de Kaboul Disco, une petite surprise [à] la boîte à bulles. En voyage pendant 5 mois en Afghanistan, Nicolas Wild a eu pour mission de mettre en image la jeune constitution afghane à destination des écoles du pays. Au sein d’une petite entreprise de com’, il participe aussi à des affiches et prises d’images pour des spots commandés par l’armée afghane.
A...
wartmag.com
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Nicolas Wild continue de nous raconter sa vie de salarié d’une agence de com en… Afghanistan. Le récit autobiographique montre le décalage entre la vie du jeune expatrié, la situation sur place et ce qu’en disent les médias. (sélection Prix France Info)
(Jean-Christophe Ogier)
France Info
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Un spot en or pour observer, avec toujours énormément d’humour et d’autodérision, tant la fragile reconstruction de l’Afghanistan que la communauté des expat’ qui y vit. On rigole du début à la fin.
(Marie Kostrz)
Rue89
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Non content de narrer moult détails passionnants sur ce pays agité, l’auteur ne se prive pas d’une forte dose d’auto-dérision. Effet humoristique garanti. On suit pas à pas sa découverte du pays, ses relations avec les "collègues français", et surtout ses contacts avec les us locaux et la population de Kaboul.
A la fois didactique et satirique, Kaboul Disco pourra voisiner avantageusement auprès des...
(David Taugis)
ActuaBD
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Ce second tome s’avère une synthèse assez réussie de descriptions cocasses et de manuel de survie dans un contexte de guerre urbaine.
(Damien Dhondt)
Onirik
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La bande dessinée regorge de talent, mais dans la quantité des titres sortant chaque mois, il faut faire des choix. La BD “indépendante ”, celle aux tirages plus confidentiels, est souvent laissée pour compte. Pourtant,elle ouvre les yeux aux pauvres aveugles que nous sommes. Essayez Kaboul Disco, et vivez avec Nicolas Wild son incursion en Afghanistan. Drôle, ironique, captivant...Indispensable !
L'Agenda stéphanois
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Tout ce que vous avez voulu savoir sur les 'expats' et les ONG et vous n'avez pas osé le demander, vous allez le trouver dans ces deux bandes dessinées de Nicolas Wild [...] vous en apprendrez aussi beaucoup sur l'Afghanistan d'aujourd'hui [...]
(Micheline Centlivres-Demont)
Afghanistan Info
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Un quotidien insolite, tellement bien rendu qu'on a l'impression, nous aussi, d'avoir vécu cet exil afghan avec lui et son équipe composée quand même de sacrés allumés de la vie.
(Philippe Audoin)
Oui FM
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Un carnet de route captivant sur Kaboul, une région à l'actualité instable et toujours aussi brûlante. Une jeune auteur de BD accepte de transcrire par le dessin la vie ploitique et militaire afghane. Le pays l'ensorcelle.
Page des libraires
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Avec la formule toute indiquée du journal de bord rédigé avec beaucoup d’humour, Nicolas Wild marche dans les pas de Guy Delisle (...), par exemple, en nous racontant en bande dessinée son expérience du travail de graphiste dans un pays parmi les derniers dans lesquels on penserait pouvoir en trouver !
Autobiographie dynamisée par le nombre de personnes qu’il a croisées, par les situations nouvelles...
(Sbuoro)
Sceneario.com
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Récit de voyage brûlant d'actualité : l'auteur rempile en Afghanistan, employé à diussuader le "Quatrième pays le plus pauvre de la planète" de continuer à produire de l'opium...
Comic Strip
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Nicolas Wild nous offre donc ici un livre amusant, sincère, et touchant, mais aussi porteur d’un réel message et bourré d’infos sur un pays à propos duquel on ne sait finalement que trop peu de choses…
(PaKa)
Angles de vue - "Rubrique à Brac"
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Loin de sacrifier au politiquement correct, capable de prendre parti avec une ironie presque innocente pourtant, Nicolas Wild raconte sans enjoliver, cultivant une agréable autodérision nous permettant de savourer ses réussites comme ses gaffes, ses moments de gloire comme ses passages à vide. À l’image du mode narratif, le graphisme dévoile sa simplicité, sa capacité à exprimer beaucoup au moyen de...
(Constance de Lestang)
L'Avis des bulles
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Cet album offre un pertinent complément à des
oeuvres plus difficiles comme Le Photographe de
Guibert, Lefèvre et Lemercier. Il y a un peu de
Satrapi et beaucoup de Delisle dans ce cocktail
entre carnet de voyage et récit autobiographique,
dans lequel le lecteur n’aura aucun mal à se
plonger, tant l’approche personnelle et ouverte,
le rend immédiatement sympathique, acessible,
et de ce fait...
(Wayne)
Zoo
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Il y a un peu de nostalgie quand on referme un ouvrage de ce calibre, un brin de spleen à l'idée de quitter de vieux potes, sans avoir l'assurance de les revoir un jour. Néanmoins, deux mots inscrits en dernière page permettront de patienter jusqu'au prochain départ, d'espérer être, une fois de plus, le témoin privilégié d'une aventure humaine extraordinaire racontée de fort belle manière : "à suivre...".
(Laurent Gianati)
BD Gest'
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Voyager en images, entre le monde doré des expatriés et la dure vie des Afghans, voici le pari de Nicolas Wild avec Kaboul disco. Entre reportage et autobiographie, il nous raconte l’évolution d’un pays en proie à des années de guerre et nous donne une vision de l ’Afghanistan autre que celle du JT. Car si Nicolas, sans domicile et projets fixes, décide de partir dans cette contrée inconnue et déchirée,...
(M &M ’s)
Let'smotiv
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Comme souvent, une histoire bien racontée (...) nous en apprend plus qu'un commentaire journalistique réducteur du 20h. L'expatrié tantôt insouciant, tantôt angoissé, a le dessin léger, les bulles claires et l'humour décalé. Intelligent et vraiment très drôle.
(Patricia Rohner-Hégé)
Le Messager
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Ce second opus a des accents parfois plus dramatiques : les émeutes évoquées en fin d’album happent le lecteur avec frissons d’effroi inclus.
Se baladant graphiquement entre Satrapi et Sattouf, Nicolas Wild se montre toujours efficace dans son propos. Et nous propose avec la même qualité un manuel de géopolitique emballé dans des illustrations aux rondeurs séduisantes.
ActuaBD
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Sur les traces de l'Iranienne Marjane Satrapi et du Maltais Joe Sacco, ce dessinateur raconte la réalité afghane à travers sa propre expérience. L'absurdité de nos certitudes, les rencontres loufoques, le cynisme des expatriés. Comme Guy Delisle dans ses Chroniques Birmanes (Delcourt), Wild utilise la bande dessinée comme un véritable médium de transmission, où l'intimité devient universelle.
Pourquoi...
(Anne & Julien)
Phosphore
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En fait, Nicolas Wild dessine bien plutôt un Lonely Planet des expat’. Mêlant naïveté, distance (et autocritique !), il croque les travers, les rites de cette drôle de communauté qui a essaimé à travers le monde. Et s’attaque à quelques « spécificités » afghanes. (...) Ego- et ethnocentré, oui. Mais Nicolas Wild, lui, est honnête. Et drôle. Il dessine ce qu’il a vu. Pas grand chose de ce pays, à vrai...
(Marion Dumand)
Les Yeux rouges
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Après un premier tome hilarant, divertissant et instructif, fort bien résumé d’ailleurs en début d’ouvrage, l’auteur rééditera-t-il l’exploit avec cet opus ? Réponse après cette page de pu… heu, tout de suite. (...)Levons rapidement le voile, les éléments qui ont fait la force du premier album sont toujours présents. Cette faculté qu’a l’auteur à aborder des événements pas toujours marrants sur un ton...
(Nicolas Raduget)
Bulle d'encre
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J'ai aimé le regard ironique et l'humour avec lequel l'auteur chronique la vie de ce petit groupe d'expat'. Le ton et le rythme m'ont rappelé cette nouvelle série "Bref".
Bref, lisez Kaboul Disco
(Hélène)
Beurk ! des livres
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L'Afghanistan a plutôt la cote chez les auteurs de dandes dessinées ! En 2005, Nicolas Wild répond à l'appel d'offre d'une agence de communication chargée de campagnes d'information pour les populations illétrées. Lutte contre l'opium, vulgarisation de la nouvelle constitution afghane sous forme de BD... Derrière l'ironie qui caractérise son autofiction (Nicolas Wild n'hésite pas à se mettre en scène...
(Jean-Michel Delage)
Magazine du CCFD
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Comme d’habitude, Nicolas Wild en profite pour tordre le coup subtilement à un tas d’idées reçues, sur les afghans d’abord, qui pour certains n’hésitent pas à mettre leur vie en jeu pour protéger les Occidentaux durant les plus sévères émeutes qui frappent le pays. Un quotidien fait de violences partagées avec des moments de joie et de rire, comme le montre l’auteur sur près de 180 pages. De la BD reportage...
(JK)
Wartmag.com
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Dans la veine des « BD reporters » (Lefèvre, Delisle, à qui on le compare souvent), mais avec sa propre sensibilité, influencé par le cinéma et l’humour so british, Nicolas Wild photographie avec justesse l’ordinaire d’une des réalités vécues par cette « capitale en crise ». Il a d’ailleurs été pressenti pour le Prix BD Reportage de France Info (qu’il n’obtiendra finalement pas).
(Anne-Aurélie Morell)
Med in Marseille
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[Nicolas Wild] expose ses états d'âme sur la nature de son travail et les conditions de vie des expatriés. La très grande majorité du récit concerne donc les membres de l’entreprise venus de tous pays et leurs aventures sur place, la façon dont ils s'adaptent les uns aux autres et à leur environnement. Pour autant, l'Afghanistan n'est pas absent de la BD, les dessins de paysages ou de rues et les rencontres...
(Laure Jouteau)
nonfiction.fr/
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Quand ils ne travaillent pas, les expat’ se retrouvent à « La Joie de vivre », repère pour frenchies et autres occidentaux qui rêvent « d’un bon bœuf bourguignon ». Outre la vie de cette « poignée d’irréductibles gaulois », le dessinateur français, en fin observateur, raconte en images la réalité afghane.
(Maïté Labat)
Bakchich.info
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Le dessinateur, loin de toute condescendance ou pitié, nous livre une description absolument pas ampoulée dou moralisatrice. Au contraire, il offre un regarde décalé sur l'Afghanistan d'après-guerre, un peu paradoxal, amusant mais finalement pertinent. Le paradoxe vient du fait qu'il décrit ce voyage comme on décrirait une journée de boulot. Et c'est diablement efficace !(...) Et bizarremenrt, une certaine...
(Wayne)
La Lettre
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Retenu dans la Sélection du Prix BD Lycée 2009 de Guadeloupe
Association des Documentalistes de Guadeloupe
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De forma consciente, Wild intenta en todo momento evitar el juicio sobre los hechos ocurridos hasta el momento. No muestra partidismo ninguno: ni con las ONG que actúan allí, ni con las autoridades locales, ni con el omnipresente ejército americano. Sólo deja un reguero de pistas, basados en su propia experiencia y en su visión de todo lo que allí acontecía, para que sea el lector el que decida finalmente,...
(Alvaro Pons)
El Païs
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Et heureusement, des amitiés solides et un restaurant européen en forme d’Eden préservé. Rien ne manque pour meubler cette bulle apparemment étanche, univers parallèle à un Afghanistan meurtri par les conflits. La réalité du pays y est cependant dévoilée par touches successives. Elle rattrape finalement les protagonistes, heureusement sans dégâts, grâce à l’intervention des habitants eux-mêmes. Une...
(Philippe Belhache)
Blog du journal Sud Ouest
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Afghanistan, encore, avec le récit très original de Nicolas Wild. Lui a rejoint Kaboul, il y a presque deux ans, pour mettre son talent de dessinateur au service du pays. Au sein
d’une agence de communication, il réalisait alors des BD éducatives et travaillait avec d’autres intervenants
étrangers. Mais au-delà de cette aventure professionnelle particulière et décalée, c’est sa vie, au fil des jours,...
(Jean Bernard)
le Midi Libre
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Nicolas Wild décrit son expérience afghane en se livrant à une peinture pittoresque des protagonistes héroïques du monde de la BD travaillant dans des conditions cauchemardesques dans la lignée de Pyongang de Guy Delisle.
Onirik.net
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C'est très très bien parce que le type, il a trouvé la bonne distance, tout est question de distance. Il a une espèce de décalage marrant mais qui est la bonne distance pour parler de la vie quotidienne, il ne dramatise pas parce qu'il fait des choses au jour le jour, il a des discussions sur les talibans... Ca, c'est aussi formidable et c'est à La Boîte à Bulles.
Canal Plus
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Le ton léger du début devient un peu plus sérieux et montre comment la situation peut rapidement dégénérer. L’humour est heureusement omniprésent. (...) Plus qu’un documentaire déguisé en bande dessinée, Nicolas Wild, tel un pédagogue, nous fait partager une vision inédite et salvatrice d’un pays trop méconnu pour nous, les occidentaux. Un second volet meilleur que son prédécesseur, indispensable donc....
(Mickaël Géreaume)
Planète BD
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On apprend beaucoup de choses à la lecture de « Kaboul disco » et d’abord que dans les pays en guerre on a besoin non seulement d’ONG humanitaires, médicales ou journalistiques, mais aussi d’une aide en auteurs de bande dessinée. Et cet humanitaire du neuvième art malgré lui qu’est Nicolas Wild tient en retour un carnet de voyage fort instructif à l’instar de ceux de Guy Delisle ou de Ted Rall, l’auteur...
(Didier Quella-Guyot)
L@BD
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Comment faire rire de son expérience dans un pays en guerre ? C'est le pari invraisemblable et réussi de Nicolas Wild avec Kaboul Disco, tome 2.
Kaboul Disco, ça n'est pas une boîte de nuit perdue dans la vallée du Panchir mais la suite des aventures de ce desinateur qui travaille dans une agence de comm' dans cet Afghanistan en reconstruction.
C'est grinçant, ironique et pertinent à la fois; et ça...
(Christophe Brunella)
Arte
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Un excellent carnet de voyage, dans la lignée de ce que fait Guy Delisle (Pyongyang, Shenzhen), qui montre de l’intérieur, et avec beaucoup d’humour, un pays en crise … « le pays le plus ingouvernable de la planète ».
On y apprend pas mal de chose sur l’histoire récente du pays, sur les mœurs et traditions locales, sur la situation actuelle… La lecture est aisée, l’ambiance plutôt relax, et j’ai vraiment...
(Alix)
BDthèque.com
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Avec un regard faussement naif, l'auteur décrit les réalités d'une Afghanistan bien mis à mal.
Page des libraires
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Sélection Prix France Info de la BD d'actualité : Nicolas Wild a tenu le carnet de bord de son séjour de plusieurs mois en Afghanistan. Il y travaillait comme graphiste dans une agence de communication locale. Sous-titré "Comment je ne me suis pas fait kidnapper en Afghanistan", « Kaboul Disco » à la boite à Bulles.
(Jean-Christophe Augier)
France Info
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Le principe du carnet de voyage a déjà fait ses preuves en bande dessinée. Proche de la BD-reportage - comme Le photographe (Guibert, Lefèvre) ou Passage afghan (Ted Rall) qui traitaient aussi de l’Afghanistan - et surtout du journal de bord autobiographique - Pyongyang ou Shenzhen où Guy Delisle est envoyé pour bosser -, Kaboul Disco n’a rien à envier à ses prédécesseurs.
(...)C’est donc une mine...
Toutenbd.com
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La vie quotidienne en Afghanistan, ce n’est pas banal ni sans danger pour un occidental mais c’est aussi parfois bien différent de ce que pensent les occidentaux gavés de journaux télévisés et d’articles de presse alarmants. Son regard a donné naissance aux titres ironiques de ses deux livres : Comment je ne me suis pas fait kidnapper en Afghanistan et Comment je ne suis pas devenu opiomane en Afghanistan…...
(Reynold)
Les échos de Brüsel
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On apprend beaucoup de choses à la lecture de « Kaboul disco » et d’abord que dans les pays en guerre on a besoin non seulement d’ONG humanitaires, médicales ou journalistiques, mais aussi d’une aide en auteurs de bande dessinée. Et cet humanitaire du neuvième art malgré lui qu’est Nicolas Wild tient en retour un carnet de voyage au ton décalé fort instructif à l’instar de ceux de Guy Delisle ou de...
L@BD
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Il joue sur les ambiances et sur son propre personnage, présenté comme un déconneur souvent assez inconséquent. Ainsi la joyeuse équipe de Zendagui ressemble-t-elle plus à une troupe de pieds nickelés mal dégrossis qu’à un staff de com présidentielle. Du coup, on se sent très proche de ces vaillants soldats de l’information. Surtout, Wild rappelle que les gens continuent à vivre dans ce pays si effrayant...
(Julien Meyrat)
culturofil.net
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Deux super raisons de me réjouir avec cet album : d'abord, j'avais adoré le tome 1 mais je n'avais pas eu le temps d'en parler sauf en presse écrite, je suis donc super contente que le tome 2 soit à la hauteur du précédent.
Ensuite, ça fait bien deux ans que tout ce qui est carnet de voyage, carnet de bordn ça commence à me fatiguer parce que les auteurs s'installent dans une réflexion intello machin...
(Anne & Julien)
France Inter, Alternatives
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Un coup de coeur (...). Très très bien, très drôle, beaucoup plus déjanté que Guy Delisle.
France Inter - Les Affranchis
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Wild promène un regard lucide et étonné sur ce petit monde qui vit en marge de la réalité afghane, ses seuls patrons semblant savoir – avec un certain cynisme – à peu près où ils vont. Et décrit ses impressions de l’extérieur, entre une population accueillante mais pauvre, des enfants livrés à eux-mêmes dans les rues, la pression militaire, les stigmates d’une guerre qui a ravagé le pays, les atermoiement...
(Philippe Belhache)
Blog du journal Sud Ouest
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Ah le Moyen Orient ! Zone géographique devenue le centre du monde, le centre de nos médias, le centre de nos angoisses, le centre de nos révoltes. Ce Moyen Orient qui est partout, Nicolas Wild nous le fait découvrir à la sauce douce amère.
Et qu’est ce que c’est bon le sucré salé quand il est bien dosé ! Qu’est ce que ça fait du bien quand tout autour de nous n’est que gros vin qui tache ou hamburger...
(Jean-Baptiste)
BDSelection.com
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La suite des "aventures" du graphiste Nicolas au sein d'une agence de com à Kaboul tient les promesses du déjà apprécié premier tome. (...) Le regard posé sur un drame qui ne dit pas son nom est délicieusement ironique, à la fois désabusé, inquiet voire angoissé, tendre mais aussi drôle et réaliste. Ce faisant, il nous apprend plus sur la situation que les documentaires chiants ou les reportages sensationnalo-voyeuristes...
(Fabien Cluzel)
Epicure, le mag de la vie étudiante
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Tout ce que vous avez voulu savoir sur les 'expats' et les ONG et vous n'avez pas osé le demander, vous allez le trouver dans ces deux bandes dessinées de Nicolas Wild [...] vous en apprendrez aussi beaucoup sur l'Afghanistan d'aujourd'hui [...]
(Micheline Centlivres-Demont)
Afghanistan Info
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Le roman autobio, on connaissait. La BD qui relate la propre aventure d'un dessinateur parti en mission en Afghanistan pour réaliser une adaptation BD de la constitution afghane, avouez que c'est aussi rare qu'un informaticien que tout le monde comprend. Et comme en plus, c'est très réussi (à condition de ne pas être allegique au noir et blanc), ça fait beaucoup de raisons de ne pas passer à côté. Ironie,...
(Fabien Cluzel)
Epicure, le mag de la vie étudiante & Vivre au lyc
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Ce qui pourrait n'être qu'un récit amer et triste étonne car c'est avec beaucoup d'humourque le narrateur raconte ces anecdotes vécues avec ses collègues et avec la population locale. Cet album, comme déjà le tome 1 avant lui, est ce qui se fait de mieux dans le monde de la BD actuelle. Et il fait clairement partie de mon top 10 dans la liste des meilleurs albums de 2008.
(Pablo Chimienti)
Le Quotidien (Luxembourg)
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(...) Observateur privilégié depuis de longs mois, Nicolas distille une mine d'informations au fil des 160 planches de son album. Un résultat d'autant plus original qu'il réussit à éviter le style professoral ou dramatique en optant pour des dialogues au ton léger et par moment ironiques. Son regard est teinté tout à la fois de la candeur du jeune étranger qui a tout à découvrir et de la férocité de...
(Albert Huber)
Le Messager