

Marc est écolier. Simon est médecin.
Tous deux vont tomber sur le génie (radin) de la lampe de poche qui n'exauce qu'un voeu.
Scénario : Boulet, Nicolas Wild, Lucie Albon
Dessin : Lucie Albon
Préface : Charles Berberian
histoires indépendantes
La presse en parle ...
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Deux ans après Le Voeu de Marc, Boulet retrouve Lucie Albon pour un nouveau conte, toujours aussi décalé mais abordant des thèmes plus adultes. Loin des séries qui l'ont fait connaître (Raghnarok, La Rubrique scientifique), Boulet démontre un éclectisme réjouissant avec cet ouvrage plein de tendresse et empreint d'une vraie poésie. Canal BD
Une oeuvre marquée par l'humour déjanté et tendre de Boulet (Raghnarok) et les dessins acidulés de Lucie Albon. Des livres pour les parents que les enfants vont avoir envie de leur piquer !
Liste des éditions
Le Voeu de... : Le Voeu de Simon
en librairie
Lucie Albon (Scénario, dessin et couleurs)
Boulet (Scénario)
Simon travaille dans un centre médical. Poursuivant une jeune patiente fugueuse (Séverine du Vœu de Marc) dans les sous-sols, il tombe bien malgré lui sur le génie radin de la lampe de poche, qui n'exhausse qu'un vœu. Décontenancé, il formule celui de pouvoir (ainsi que son équipe) soulager les patients de leurs maux, pour rendre leur calvaire plus supportable.
Ce pouvoir généreux et désintéressé va se révéler exigeant pour ses bénéficiaires : afin de soulager leurs patients, ils leur faut en effet prendre sur eux tous les maux de ces derniers. Avec toutefois la possibilité de les leur rendre. Ils décident donc de proposer à leurs patients d'être libéré de leurs douleurs le temps d'une journée.
Mais quelqu'un qui se trouve soulagé de ces maux pour la journée peut-il être aussi honnête que Simon et ses collègues ?
Le retour du Génie de la lampe (découvert dans Le Vœu de Marc) sur un thème plus sentimental et adulte.
Un humour déjanté et tendre, porté par les dessins acidulés d'une dessinatrice au talent très personnel.
Un travail intimiste de Boulet qui conserve son humour distancié pour explorer un thème cher à sa complice Lucie Albon : peut-on accepter de prendre la douleur de l'autre par compassion ou amour ?