

Un dessin dépouillé et élégant, une narration fluide. Une chronique douce amère sur la quarantaine, l’adolescence et les illusions perdues…
Scénario : Nabiel Kanan
Dessin : Nabiel Kanan
histoires indépendantes
La presse en parle ...
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Le Thème du pouvoir qui corrompt et fait renoncer à ses idéaux de jeunesse a donné lieu à de belles œuvres (comme, dans le théâtre français, « Lorenzaccio » de Musset ou « Les Mains sales » de Sartre). Ici, c’est Nabiel Kanan, une jeune auteur britannique, qui, par le biais d’un récit sur une campagne électorale pour conquérir la mairie de Londres, illustre ce thème avec beaucoup de sensibilité. (Dominique Petitfaux) Le Collectionneur de bandes dessinées
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Ce très bon moment de lecture fait une petite incision dans notre morale politique et trouble d’autant plus par son dessin clair et précis. A ne pas rater si vous êtes amateur de graphic novels. (Hélène Beney) Bo Doï
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En pleine campagne électorale, un conseiller en politique britannique se remémore ses illusions de jeunesse alors que sa fille profite d'un mouvement de revendication des gens du voyage pour s'enfuir. Une fable sociale dans la veine du nouveau cinéma d'outre Manche. (Laurent Mélikian) BDnet
Max Collins s’est lancé dans une carrière politique par conviction, marié par amour. Il a tout ce qu’il faudrait pour être heureux : il travaille pour l’homme qui devrait, prochainement, devenir le maire de Londres, a fondé une famille modèle. Mais, à l’occasion du quinzième anniversaire de sa fille, d’un soulèvement social, vont revenir à sa mémoire toutes ces compromissions, ces petites trahisons qui lui ont fait oublier ce en quoi il croyait lorsqu’il était lui-même adolescent puis étudiant.