Le 2 février 2011, Miriam López, 30 ans, est enlevée par deux hommes cagoulés dans la ville mexicaine d’Ensenada, en Basse-Californie.
Placée en détention dans une base militaire, elle est accusée à tort d’appartenir à un réseau de trafic de drogue. Là-bas, elle est torturée et violée par les forces de l’ordre afin de lui faire signer de faux aveux.
Depuis, Miriam a été relâchée et les accusations contre elle ont été abandonnées.
Comme Miriam, les femmes victimes de torture son nombreuses. Elle est l'une des seules à avoir osé porter plainte et à aller jusqu’au bout pour tenter d’obtenir justice.
Son combat exemplaire est soutenu par Amnesty International.
Un récit âpre mais sans mélodrame ni effet de manche sur les dégâts collatéraux de la guerre contre les narco-trafiquants au Mexique.
Le 2 février 2011, Miriam López, 30 ans, est enlevée par deux hommes cagoulés dans la ville mexicaine d’Ensenada, en Basse-Californie.
Placée en détention dans une base militaire, elle est accusée à tort d’appartenir à un réseau de trafic de drogue. Là-bas, elle est torturée et violée par les forces de l’ordre afin de lui faire signer de faux aveux.
Depuis, Miriam a été relâchée et les accusations contre elle ont été abandonnées.
Miriam est l’une des très rares victimes de torture, pourtant fort nombreuses, à avoir osé porter plainte et à aller jusqu’au bout pour tenter d’obtenir justice.
Son combat exemplaire est soutenu par Amnesty International.
Un récit âpre mais sans mélodrame ni effet de manche sur les dégâts collatéraux de la guerre contre les narco-trafiquants au Mexique.
Arraigo